Rythmes scolaires, le débat de l'année ...

Je vous avouerais ne pas avoir vraiment d'avis sur le sujet pour la simple et bonne raison que je ne vois pas comment pourrait-on juger d'une réforme qui vient tout juste d'être mise en place et qui ne demande qu'à s'ajuster! Encore faut-il laisser le temps aux temps et que ĺ´ensemble des personnes de l'encadrement soit contributeur de cette adaptation! 

En tout cas, j'ai bien le souvenir de l'ancienne directrice de la maternelle de mon fils qui, cet été, était déjà contre la mise en place de ces nouveaux rythmes. Pour une raison simple, le manque de temps avant la rentrée ou le manque de personnel tout simplement, manque de CAF (moyen donné dans la capacité à faire) ?

Première rentrée à la maternelle de mon petit poussin, pas facile ce rythme de 4 jours et demi les premières semaines, petit bout était fatigué, et la maîtresse aussi ! Au final tout le monde s'y est fait! Mon fils adore l'école et cela lui plaît d'y aller tous les jours. Du haut de ces 3 ans, il comprends les différents changements selon les jours de la semaine et ce en grande partie grâce à la maîtresse!

Ne me demandez pas la différence entre les activités de l'école, les activités périscolaire et le centre de loisir à cet âge les activités restent sensiblement les mêmes. Cependant je pense que l'évolution de l'enfant ainsi que l'approche de chacune de ces 3 activités sont totalement différentes ! Et pour cela je suis pour ces changements! 

Une meilleure communication devrait être faite par l'Etat afin d'expliquer pourquoi ces changements, informer et marcher ensemble! La clé de ce travail collectif serait sans doute la réussite. 

En attendant, cette semaine est mouvementée par les grèves, et cela ne se justifie pas! La grève perd complètement de son sens. Et cela, m'amène en tant que mère, à la colère et me conforte dans le choix de me rapprocher du privé, car ce n'est pas ce type d'exemple que je souhaite inculter à mon fils. Cette énergie pourrait être dépensée à des fins plus utiles et bien plus formatrices pour l'avenir. Mais sans une bonne dynamique cette énergie ne se transformera jms dans le secteur public.